"J'ai du mal à voir la rousseur avec ces lunettes"Deuxième édition du Bonus Track à la Laiterie Strasbourg.
Comme d'habitude, je rate la première partie et en plus de ça, j'oublie aussi de prendre les invitations pour rentrer. Mais comme d'habitude, j'ai aussi beaucoup de chance pour arriver à me sortir de ces petites difficultés.
Bref, encore une fois on a le droit à une programmation composée de groupes montants, qui ont chacun une ambiance bien particulière. Cela peut d'ailleurs un peu désorienter de passer d'un genre à un autre plutôt éloigné. Mais bon, il y avait du monde dans la salle et je pense que la soirée à bien plu à la plupart des gens.
Deuxième groupe à passer: Unison (photo 1 à 4). Une voix féminine douce et planante supportée par une puissante guitare en full reverb. C'est sombre, ça se voit d'ailleurs sur les photos...
Darkness Falls (photo 5 à 7), la jolie formation danoise redonne le sourire et la joie dans nos visages avec des chansons entraînantes et bien jolies.
Tristesse Contemporaine (photo 6 à 9) clôt cette soirée avec, ma foi, une ambiance assez intéressante, des chansons avec passages bien entraînantes parfois ponctuées de quelques lyrics bien efficaces et bien posés, supporté par de bons rythmes.
Comme prévu, je ne me suis pas ennuyé mais il y avait tout de même un petit hic... La lumière: Par rapport à la dernière fois, j'ai beaucoup eu du mal à sortir des images aussi variées que la dernière soirée Bonus Track. Le premier groupe a choisi de ne pas avoir du tout de lumière frontale durant toute leur prestation. Toutes mes images se ressemblaient du coup et il était difficile de voir à quoi ressemblait le visage de la chanteuse. Il a fallu attendre la fin du concert pour utiliser un IPhone pour lever le mystère... Ce fut presque la même chose pour le second groupe...
Bon, du coup, cette petite série n'est vraiment pas top top, comparé à la première faite la Bonus Track #1 mais dès ce soir, je retourne sur scène pour essayer de me rattrapper. :)
--- Partie technique ---
Bref, sur ce coup là, les choix des lumières ne nous facilitaient pas la tâche... En contre-partie, elles étaient particulièrement puissantes, du coup, si j'exposais bien à gauche sans boucher les ombres, tout en étant à pleine ouverture (à f/1.4-1.8) je pouvait facilement shooter à ISO 160-250. D'ailleurs, croyez-le ou non, mais la dernière image a été prise avec un ISO de 50. Mes compagnons photographe de soirée se moquaient bien de mes réglages ridiculement bas (comme ils étaient à 800 ISO la plupart du temps, les jaloux). Je trouve qu'à des concerts où la lumière est plutôt forte, et où le groupe ne bougent pas trop dans tous les sens, il est inutile de monter à 1600 ISO pour avoir un temps de pose 1/500è de s, autant descendre la vitesse pour avoir une image plus propre. Selon moi, la vitesse de sécurité se situe dans les environs de 1/100ès pour un concert "calme". Mais ça montre bien qu'avec des réglages à la limite-limite du raisonnable pour un prise de vue en RAW, on peut largement baisser l'ISO, gagner en dynamique et en propreté. Bien sûr, faire le choix d'un réglage bas nécessite un temps de développement plus long...
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